Un concept unique apparaît dans les livres et les œuvres d’art : « Half Up ». Ce terme s’applique aux créations volontairement laissées partiellement inachevées. De telles œuvres suscitent souvent l’intérêt en raison de leur nature inachevée et du potentiel qu’elles recèlent.
Les raisons d'un échec peuvent être très diverses. Le créateur peut avoir perdu sa motivation ou s'être concentré sur un autre projet. Ou bien, des efforts ambitieux peuvent s'avérer trop exigeants, aboutissant à un résultat incomplet. Quelle que soit la cause, l'attrait réside dans ce qui aurait pu être.
L’approche d’une œuvre à moitié achevée permet d’envisager des perspectives diverses. Une approche consiste à compléter l’œuvre en remplissant les parties manquantes. Une autre approche consiste à l’apprécier telle quelle, en célébrant les efforts déployés pour sa création.
Lorsqu'il s'agit de livres et d'œuvres d'art, replier la partie supérieure d'une page ou d'une pièce de sorte que seule la partie inférieure reste visible permet d'obtenir le étiquette de « moitié vers le haut ». Cette technique sert à plusieurs fins : créer des signets et préserver les lieux dans les textes ou les images tout en affichant une fraction à un moment donné.
D'une manière plus large, le terme « à moitié visible » s'étend au-delà de la littérature et de l'art, englobant tout ce qui se présente seulement partiellement visible. Si l'on ne peut voir que la partie supérieure du visage de quelqu'un, faire, cette visibilité limitée est « à moitié levée ».
Le terme « à moitié relevé » trouve de nombreuses applications dans divers contextes comme une description appropriée pour partiel visibilité expérimentée avec des objets tels que des livres, des œuvres d’art ou même des individus.