Les avances versées aux auteurs par les éditeurs au fur et à mesure compenser à opposer à royalties les gains sont des frais non remboursables appelés avances. Un éditeur rémunère un auteur ou agent une avance en échange de droits exclusifs pour publier leurs œuvres auprès de leur maison d'édition.
Le coût exact de publication est déterminé par plusieurs facteurs, notamment les antécédents de l'auteur, les chiffres de vente projetés de son livre et les tendances du secteur. Le paiement est généralement échelonné ; un premier versement pourra être effectué lors de la signature du contrat, tandis que les suivantes arrivent à échéance sous forme d'étapes telles que la remise d'un manuscrit ou atteindre des objectifs de vente spécifiques.
Une avance peut apporter une sécurité financière indispensable aux auteurs, mais il ne faut pas oublier qu’il ne s’agit pas d’argent gratuit. Redevances (un pourcentage des ventes des livres vendus après récupération de leur avance par la vente) n'entrera en jeu qu'une fois que leur avance aura été préalablement réalisée par la vente des livres ; par conséquent, un auteur qui reçoit une avance importante devra peut-être vendre de nombreux exemplaires avant de voir un revenu supplémentaire lui parvenir. Par conséquent, avant de conclure un contrat comprenant un passage pour leurs projections de ventes de livres.
Un auteur peut utiliser son avance de plusieurs manières différentes. Une stratégie évidente consiste à l’utiliser pour couvrir les frais de subsistance pendant l’écriture de leur livre – particulièrement utile pour les auteurs travaillant à temps plein tout en conservant un emploi régulier. Alternativement, les auteurs pourraient économiser ou investir leurs avances dans d’autres projets – par exemple, un auteur disposant d’une avance considérable peut choisir d’embaucher un journaliste pour le promouvoir davantage.