Les livres d’aventure ont toujours été considérés comme ayant des couvertures de livres attrayantes et directes. Ils sont là pour attirer directement le lecteur, l'impliquer dès le moment où il regarde le livre en rayon. Les vrais livres d’aventures s’inspirent d’eux-mêmes ; ils entraînent le lecteur dans des événements qui peuvent lui arriver, sur place et maintenant. Les couvertures d'un formulaire doivent susciter une sorte de réponse de la part du lecteur, qu'elle soit positive, négative ou un simple regard. Un regard vaut mieux que pas de regard, cela reste une vente potentielle.
Into Thin Air, le titre lui-même incite le lecteur à penser à une certaine forme de nuage, un paysage sombre qui formera un sentiment mystifié. La couverture elle-même est encore une fois le principal attrait pour les acheteurs potentiels du livre. Il plante le décor et, avec les nuages, il tente d'amplifier le fait que l'air est personnifié.
Le côté créatif de cette couverture de livre est fantastique. Le titre lui-même, « À la dérive », fait instantanément requête du lecteur La situation dans laquelle se trouve le personnage principal de l'histoire. S'est-il volontairement laissé aller ? Que lui est-il arrivé ? Est-ce qu'il va bien ? La couverture du livre montre que le personnage principal est créatif, qu'il essaie de trouver un chemin vers quelque part (en utilisant sa propre voile), mais où ?
Le concept de l'art sur le livre nous procure une sensation agréable en tant que lecteur. Il nous permet de savoir où, quand et qui par le drapeau et la mer. Le drapeau, qui représente le Royaume-Uni, donne l'emplacement et une idée de la période. Il doit s'agir de 1800+, puisque le Royaume-Uni a été fondé en 1801. L'endroit est vu par la mer et met parfaitement en valeur tout ce qui s'y trouve.
Tout le monde a entendu parler de la Chute du Faucon Noir. Que ce soit l'histoire elle-même, en tant que récit factuel, ou la représentation cinématographique de celle-ci. Le Faucon Noir est l'hélicoptère qui est arrivé sur les lieux, et la couverture le met parfaitement en valeur. Le noir montre le ombre et l'obscurité dans l'événement, et l'hélicoptère lui-même semble montrer une vision de style gamma.
Les immenses montagnes sont instantanément l’effet d’attraction de cette couverture. Le paysage a toujours été représenté par la beauté… et l’horreur. Cela nous permet de voir où se trouve déjà la scène, et aussi qui a participé à la photo des survivants eux-mêmes. Mais quelle était « l’histoire » des survivants des Andes ?